Depuis quelques mois, la politique débarque sur la célèbre plateforme de vidéo en France.
Pour contrer cette montée en puissance de ces nouveaux influenceurs, les médias traditionnels ont, pour certains, adoptés une autre stratégie qui préfère intégrer plutôt que de repousser ces nouveaux acteurs de l’opinion.
La communication évolue sans cesse et n’est plus du tout la même que celle d’il y a 10 ans. Les canaux traditionnels de communication et d’informations comme la télévision, la radio et la presse écrite doivent cohabiter avec d’autres plateformes multimédias et multi-formats comme les réseaux sociaux, les blogs, etc.
Le monde se digitalise. Vraiment ?
Le monde entier est touché par la digitalisation, les médias, la publicité, les agences et notamment les relations presse.
A l’ère du digital, les journalistes sont amenés à utiliser le web pour leurs recherches. Le moteur de recherche le plus utilisé en France Google, l’a bien compris.
A l’heure où les modes de communication ont évolué, les journalistes ont pris le virage des nouveaux outils et utilisent largement les réseaux sociaux dans un cadre professionnel, principalement Twitter, Linkedin et Facebook.
La presse papier est en pleine crise depuis quelques années. Ce support n’est plus adapté à la vitesse de l’information, à la consommation de l’information et aux budgets des rédactions, car oui l’imprimerie, ça coûte cher !
Il existe un grand nombre d’informations et de contenus postés sur le web et notamment sur les réseaux sociaux. La rapidité des plateformes permet de parler des actualités directement, voire de les vivre en direct.
« Pourquoi se dire « journaliste numérique » ? De nos jours, tous les journalistes sont censés l’être non ? ».
Le digital doit donc être vu comme une opportunité par les médias traditionnels plutôt que comme un adversaire.
Les sites d’informations et les applications presse voient leur nombre de visites augmenter de 8,4% en 2015.